Il est régulier de voir sur Twitter des gens par ailleurs très bien, souvent culturistes cultivés, s’insurger contre une activité tout à fait normale des bibliothécaires: vouer des livres à la destruction. Moi-même, j’ai pratiqué ce qu’on appelle dans notre métier « désherbage » (weeding dans la langue d’E.L. James), et j’avoue en avoir tiré beaucoup de…